le coup de p… de Buzin !

C’est le coup de pied de l’ânesse dans l’équipe des bras cassés LREM !

ils ont les mains propres mais ils n’ont pas de mains disait Péguy.

Mme Buzin, juive polonaise, belle fille de la MerWeil, épouse du Dr Lévy, patron de l’INSERM, médecin de son état et accessoirement ministre de la santé démissionnaire puis candidate aux élections parisiennes en remplacement du masturbateur Griveaux, lance une torpille dégoupillée contre le gouvernement !

Elle est venue verser des larmes de crocodile dans le confessionnal du Monde, une thérapie sur le divan, pitoyable et sans vergogne, pour ménager ses arrières, dénoncer ses « copains » pour ne pas être mêlée au prochain immense scandale d’état et se réconforter de son camouflet aux dernières municipales en accusant ses coéquipiers de ne pas l’avoir écoutée alors qu’elle alertait sur les dangers du virus !

les confessions accablantes de Buzin

Mais alors, s’il était si dangereux pourquoi a-t-elle quitté le navire en pleine tempête ? pourquoi n’a-t-elle pas joué le rôle de lanceuse d’alerte ? pourquoi a-t-elle participé avec ce gouvernement à disloquer l’hôpital public !? Pourquoi est-elle partie en vacances en Corse avec Schiappa comme si de rien n’était ? pourquoi, alors qu’en tant que médecin elle a prêté le serment d’Hippocrate, ment-elle éhontemment, n’a-t-elle pas cherché à protéger les patients ? qui avalera les couleuvres de Buzyn ?

et si elle a prévenu le gouvernement depuis décembre, comme elle le prétend, alors pourquoi Macron a-t- il laissé les frontières ouvertes, permis la rencontre Lyon/Turin, vendu nos stocks de masques à l’étranger, manqué d’assurer notre autonomie sanitaire (manque de tests, de masques, de gel, fabrication de médicament délocalisée en Chine…) ni pris aucune précaution satisfaisante en temps et en heure ?

Dans un cas comme dans l’autre, ils sont responsables et coupables !

Le temps viendra de laver le linge sale …

en temps de guerre pour les traitres, 12 balles dans la peau, pour les demi traitres, 6 suffiront G Clemenceau

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