Même si un jour, je retrouve l’église traditionnelle de ma patrie et de mes ancêtres, jamais je ne ressentirai cette émotion, cette ferveur que donne seule l’enfance catholique. Jamais je ne serai le catholique que j’aurais aimé être, de nature, de sentiments, sans grands tourments d’esprit, dans la banalité des certitudes. C’est la grande victoire de Jules Ferry, l’imposteur.
