Les écolo sont étrangement muets sur le problème de la pollution des masques jetables; pourtant il y a matière à récriminer :
ces masques et lingettes sont la catastrophe absolue. Fabriqués à partir de polypropylène, ils vont occasionner une pollution sans précédent. « Le polypropylène n’est pas biodégradable dans la nature, ni compostable. Il va se dégrader par l’action des UV, l’oxydation dans un processus qui peut prendre des dizaines voire des centaines d’années. Mais sans qu’au final il ne soit biodégradé », dit un chercheur. Confirmation d’Étienne Grau, de l’université de Bordeaux : « Ce n’est pas le pire des polymères, mais on estime généralement que le polypropylène massif met environ 500 ans à se dégrader, avec les masques, comme il s’agit de couche fines, cela pourrait être légèrement plus rapide. »
L’écologie contemporaine est une défense de la nature à géométrie variable, elle ne doit en aucun cas remettre en cause les dogmes du marché !