une femme archevêque !?

Une totale inconnue, @anne_soupa, féministe illuminée, marxiste et aussi catholique qu’une courgette, « exige » le poste d’archevêque de Lyon… Les progressistes qui ont infiltré l’Église vont-ils lui dérouler le tapis rouge ou recevra-t-elle la paire de gifles qu’elle mérite ?

L’église conciliaire est progressiste, elle ne peut donc être garante de la Tradition, elle n’a donc pas la foi ! Ainsi par provocation, Anne Soupa, théologienne, laicarde et féministe, se porte candidate à l’archevêché de Lyon par provocation et au prétexte de vouloir faire évoluer l’Eglise ! or, l’Eglise est éternelle, elle n’a pas à s’adapter au monde ! Marie, épouse, femme et mère s’est soumise à Dieu, elle n’a pas cherché à le défier comme cette passionnaria de l’idéologie bergoglienne.

La maçonnerie se frotte les mains à l’idée de livrer la France à Satan. L’Eglise boira le vin jusqu’à la lie mais on sait que les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle !

où sont passés les « verts »?

Les écolo sont étrangement muets sur le problème de la pollution des masques jetables; pourtant il y a matière à récriminer :

ces masques et lingettes sont la catastrophe absolue. Fabriqués à partir de polypropylène, ils vont occasionner une pollution sans précédent. « Le polypropylène n’est pas biodégradable dans la nature, ni compostable. Il va se dégrader par l’action des UV, l’oxydation dans un processus qui peut prendre des dizaines voire des centaines d’années. Mais sans qu’au final il ne soit biodégradé », dit un chercheur. Confirmation d’Étienne Grau, de l’université de Bordeaux : « Ce n’est pas le pire des polymères, mais on estime généralement que le polypropylène massif met environ 500 ans à se dégrader, avec les masques, comme il s’agit de couche fines, cela pourrait être légèrement plus rapide. »

L’écologie contemporaine est une défense de la nature à géométrie variable, elle ne doit en aucun cas remettre en cause les dogmes du marché !

feu vert pour stopcovid

Alors que l’épidémie est maintenant tout à fait terminée, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) est favorable à la mise en place de StopCovid, l’application de traçage de contacts pour smartphones, voulue par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie de coronavirus via la technologie bluetooth. La CNIL estime, dans son avis publié mardi 26 mai, que l’application respecte les différentes dispositions législatives relatives à la protection de la vie privée et formule quelques dernières recommandations pour sa mise en place.

Chaque utilisateur pourra ainsi garder la trace des gens croisés par lui pendant les 2 dernières semaines et prévenir les autres en cas d’infestation supposée !