Aux adeptes de Gaia et autres barbares, partisans de l’euthanasie :
« Si l’homme est grand, s’il mérite une place exceptionnelle au milieu de la création, ce n’est pas parce qu’il peut à l’occasion se comporter comme les caimans ou les requins, c’est parce qu’il lui arrive de penser comme st Thomas d’Assise et st Vincent de Paul. Si l’homme est grand c’est parce qu’à travers mille expériences douloureuses, il s’est élevé degré par degré, vers l’idée de Dieu. Il a d’abord dit comme les animaux « œil pour œil, dent pour dent », puis il a marqué un grand pas quand il a découvert cette autre maxime, « ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas que l’on te fit », puis, il a quitté la nature, la nature farouche et brutale pour proclamer cet étonnant précepte : « rends le bien pour le mal ».
Si l’homme est grand, ce n’est pas parce qu’il est une de ces forces de la nature imbécile et violente, c’est parce qu’il peut pardonner, faire abnégation de lui-même, soigner et honorer les vieillards inutiles, laisser vivre les infirmes… »