Les faits divers se suivent, incendies de cathédrales, barbarie de rue. L’indignation se manifeste mais rien ne change puisqu’ un régime ne peut pas apporter les réponses aux problèmes dont il est lui-même à l’origine. Ch Combaz évoque la politique migratoire inconséquente de l’église conciliaire comme facteur aggravant les risques d’attentat contre les cathédrales :