Le marché opère sa grande mue !
A mesure que nos tortionnaires nous empêchent de respirer, nous privent de toutes nos libertés, des plaisirs gratuits de la vie, de sa fantaisie, de l’ insouciance des jours, de la joie d’un sourire, de l’imprévu d’une rencontre, de la sociabilité qui fait l’humanité, de ces petites gestes quotidiens, poignées de mains fraternelles, nous nous enfonçons dans le monde d’après, glacial, violent, technocratique, protocolaire, un monde déshumanisé, atomisé, gouverné par des humanoïdes qui n’ont que compteur à la place du cœur…
Qui arrêtera cette fuite en avant…