un vaccin développé sur les cellules de bébés avortés

On sait que dans une économie de marché rien ne se perd et n’a de prix que ce qui peut se vendre, alors, pourquoi ne pas utiliser les bébés avortés comme base de vaccin…

Nous sommes tous impatients de faire la découverte d’un vaccin contre le COVID-19 dans les plus brefs délais. Au moins certains d’entre nous, cependant, sont encore plus inquiets à l’idée que le seul vaccin qui nous sera finalement proposé (ou imposé?) soit un vaccin lié à l’avortement. Les problèmes éthiques posés par la recherche, la production, la commercialisation et l’utilisation des vaccins ne sont pas nouveaux. Pour certains vaccins contre le COVID-19 en voie de développement, l’ONG Children of God for Life (la principale organisation « pro-vie » sur le thème des vaccins, basée en Floride et dirigée par Debi Vinnedge) a déjà sonné l’alarme: le vaccin en cours de développement par la société pharmaceutique Moderna (ARNm-1273) et celui de Johnson & Johnson (qui est le bénéficiaire de fonds publics pour sa recherche contre le COVID-19) utilisent des lignées cellulaires de bébés avortés. Tout cela contraste fortement avec d’autres vaccins en préparation, tels que ceux de Sanofi Pasteur et d’AVM Biotechnology, qui n’utilisent pas de lignées cellulaires issues d’avortements.

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