C’est la question rédhibitoire posée aux croyants pour tenter d’invalider l’existence de Dieu dans un monde qui ne veut plus porter sa croix !
Archives mensuelles : juillet 2020
proverbe espagnol
Celui qui est infidèle à Dieu ne sera pas longtemps fidèle au diable.
le monde post covid
La crise sanitaire a été un écran de fumée derrière lequel s’est mis en place le monde d’après, un monde totalitaire, dématérialisé, la surveillance généralisée, la restriction des libertés publiques, le nouvel ordre mondial !
quand en même temps, tous les mots se valent
Mal nommer les choses c’est ajouter du malheur au monde. A Camus
Notre époque aime les mélanges, elle a adopté le relativisme comme mode de fonctionnement. Possiblement accusé de discrimination, il n’est plus possible d’exercer nos facultés de discernement entre ce qui est bon et mauvais, beau ou laid, vrai ou faux, juste ou injuste ! tout se confond, un mot en remplace un autre, qu’importe ! tout est égalitarisé comme il se doit en régime socialo-communiste.
Ainsi E Macron a qualifié les derniers meurtres abominables qui se sont déroulés sur notre sol, d’actes d‘incivilité et M Schiappa en bon perroquet est venue faire le service après vente et renforcer cet outrage à la richesse de notre vocabulaire et à notre désir légitime de justice !
« Dans incivilités, on peut qualifier les faits de délinquance, les délits et même les crimes. »
Pourtant le français, langue de la précision s’il en est, dispose d’ un bataillon de mots pour designer chaque chose et faire qu’ainsi, sachant les désigner avec la plus grande justesse, il devienne possible d’apporter, s’il y a lieu, les bonnes réponses, d’éviter les quiproquo, les confusions toujours causes de tensions ! C’est d’ailleurs pourquoi, lorsque le monde ne fonctionnait pas sous la loi du doux commerce, le français était utilisé comme langue de la diplomatie internationale…
Aujourd’hui, les mots sont comme les hommes, comme nos comportements, comme nos tenues vestimentaires, comme nos opinions, ils sont indifférenciés et on sait que indifférenciation conduit toujours à la barbarie et au chaos !
Mgr Aupetit dénonce le business de la PMA… et son inhumanité
complot mondial contre la santé
pas de demi-mesure (Cardinal Pie)
“Messieurs, avec un demi-christianisme on ne sauvera rien : les demi-moyens et les demi-remèdes n’ont plus d’efficacité. C’est l’erreur de toute une école de pensée du passé, de croire qu’avec un minimum d’autorité, la chose publique sera suffisamment armée, le pouvoir suffisamment fort contre l’esprit d’anarchie : erreur irréformable dans beaucoup d’esprits, malgré des expériences tant de fois renouvelées et dont l’avenir pourrait leur préparer une prochaine et terrible confirmation. Et moi je déclare qu’avec un minimum de religion, le salut public est devenu impossible. Être franchement, pleinement chrétien, dans la croyance comme dans la pratique ; affirmer toute la loi doctrinale comme toute la loi morale ; c’est nécessaire.”
masque ou muselière
Le paradoxe de nos comportements
Alexandra Henrion-Caude [généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm (Hôpital Necker)] nous parle de l’utilité des masques. Par delà la protection sanitaire, l’échange de bactéries qui passe par le contact, renforce nos défenses immunitaires :
le problème juridique des masques
de l’illégalité des textes constitutifs :
Pour que l’infraction soit imputée et sanctionnée, il faut, aux termes du principe de légalité prévu à l’article 111-3 du Code pénal et conformément à l’article 111-4 de celui-ci sur l’interprétation stricte de la loi pénale, que les textes d’incrimination et de répression soient clairement énoncés afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur l’incrimination et la répression. Or, l’alinéa 3 du texte précité réprime par une contravention de quatrième classe les infractions visées aux articles L 3131-1 et L 3131-15 à L 3131-17 dudit Code.
Toutefois, les textes précités ne peuvent en aucun cas être appliqués au « défaut de port de masque » pour les motifs suivants :
L’article L 3131-1 ne s’applique qu’au règlement pris « par le ministre chargé de la Santé et par arrêté motivé ». Or, les dispositions du décret du 10 juillet 2020 ont été édictées par un décret du Premier ministre et non par arrêté.
S’agissant des dispositions des articles L 3131-15 à L 3131-17, celles-ci ne sont applicables que dans les circonscriptions dans lesquelles l’état d’urgence est déclaré. Les dispositions relatives au port de masques des articles 27 et 38 du décret du 10 juillet 2020 s’appliquent aux « territoires sortis de l’urgence sanitaire », et ne sont donc pas applicables.
Enfin, le texte de répression ne vise en aucun cas le décret du 10 juillet 2020, de sorte qu’aucune répression ne peut être appliquée au défaut de port de masque.
Toutes verbalisations effectuées par un policier, un gendarme ou toute autre personne habilitée par la loi sont ainsi entachées d’une illégalité manifeste, ainsi que d’un abus de pouvoir.
Maitre Carlo Alberto BRUSA, avocat à la Cour
Président de l’Association REACTION 19
Et président du cabinet d’avocats CAB ASSOCIES, avocats à la cour