
En 2017, des chercheurs italiens ont passé en revue les ingrédients de 44 types de « vaccins ». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chacun des vaccins humains qu’ils ont testé. Ils ont déclaré : « La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. » Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente que les micro et nanoparticules contaminantes étaient « biopersistantes » puisqu’elles n’étaient « ni biocompatibles ni biodégradables », et qu’elles pouvaient donc provoquer des effets inflammatoires immédiats — ou plus tardifs.
Des tissus fœtaux avortés, des tissus animaux, de l’aluminium, du mercure, des matériaux génétiquement modifiés — et quoi d’autre ?
« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, ce qui signifie qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets à même de se manifester soit immédiatement après le moment de l’injection, soit après un certain temps suivant l’administration. Il est important de rappeler que les particules — des cristaux et non des molécules — sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme telles. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité — qui de toute façon, est toujours présente — une toxicité typique des corps étrangers. C’est la raison pour laquelle elles induisent une réaction inflammatoire.
