lancement officiel du « grand reset »

Le 3 juin dernier, Klaus Schwab et le prince Charles annonçaient en grande pompe le lancement du Great Reset (« Grande Réinitialisation »).

Les éléments du puzzle se mettent en place (ex, le lien entre transition écologique/covid, agenda 30), le plan mondialiste machiavélique ourdi depuis des siècles dans les sociétés secrètes suit son cours aux dépends des populations ! Il est officiellement annoncé :

le devoir de combattre

« Rien ne peut mieux tremper l’âme d’un guerrier que le défi qui consiste à traiter avec des gens impossibles qui se trouvent en position de pouvoir. Seules de telles conditions peuvent faire acquérir aux guerriers la modération et la sérénité nécessaires pour supporter le poids de l’inconnaissable. » Carlos Casteneda, Le feu du dedans 

LE COMBAT DES CHEVALIERS D 'OR ET D ' ARGENT - enluminures -bestiairemedieval37.over-blog.com

des arrêtés municipaux pour contrer les délires macronesques

Afin de ne pas laisser mourir les petits commerces, certains maires prennent des arrêtés les autorisant à rester ouverts ; de même, le Sénat a voté hier son opposition à ces mesures de confinement iniques, dictatoriales et homicides :

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« on ne peut être unis qu’autour de la vérité » (abbé Grosjean)

à propose des attentats de Nice, en France, les chrétiens ne sont plus en sécurité :

Macron, en porte-parole de notre République laïque et maçonnique, a revendiqué pour notre pays le « droit au blasphème » ; n’a-t-il pas une responsabilité énorme dans ce qui vient de se dérouler ?

Plus que ses concitoyens, c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte. En son orgueil incommensurable, il se revendique supérieur à son Créateur, au point de réclamer le droit de le mépriser, de l’insulter. En affirmant à maintes reprises qu’il n’y a aucune loi au-dessus de la République, notre Président ne fait que diviniser cette dernière ; il en fait le principe ultime du bien et du mal. Nous voici revenus au temps des empires païens, dont le prince prétendait incarner la Toute-Puissance. Cela s’appelle une dictature. Abbé de la Roque