« Je suis triste pour ma génération, qui est vidée de toute substance humaine. Qui, n’ayant connu que le bar, les mathématiques et la Bugatti comme forme de vie spirituelle, se trouve aujourd’hui entassée dans une action strictement grégaire, qui n’a plus aucune couleur. »
« Nous sommes étonnamment bien châtrés. Ainsi, sommes-nous enfin libres. On nous a coupé les bras et les jambes, puis on nous a laissés libre de marcher. Je hais cette époque où l’homme devient sous un totalitarisme universel, bétail doux, poli et tranquille. » Ecrits de guerre 1943