Dr L Fouché sur le passeport vaccinal

La vaccination de masse est un rapt social qui témoigne d’un déferlement totalitaire :

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vivre ou survivre ?

« Qui cherchera à garder sa vie la perdra. Et qui la perdra, la trouvera » Luc 17,33

De peur de la maladie et in fine de la mort, de nombreuses personnes aujourd’hui renoncent à vivre. Le Père Christian Cherel a rédigé ce très beau texte qui précise ce qu’est vivre :

extrait :

« Depuis que le virus tue, on nous répète comme une leçon universelle que la vie est le bien le plus précieux et qu’il faut la protéger, quoi qu’il en coûte. Quoi qu’il en coûte ? Ce discours semble ne souffrir aucune contradiction ni tolérer la moindre nuance. Et pourtant… Comment ne pas voir que vivre ne consiste pas seulement à rester en vie ? D’où vient ce manque de profondeur, cette perte de perspective, cette cécité qui frappe notre monde ? Comment avons-nous laissé se dégrader nos vies au point de les confondre avec notre seule survie ?

Survivre quoi qu’il en coûte ? Mais quelle est donc cette vie pour laquelle nous serions prêts à consentir à tous les sacrifices ? 

lire la suite : Le Forum Catholique

Dans le conte d’A Daudet, la chèvre de M Seguin renonce à la sécurité de la ferme douillette et meurt pour vouloir vivre et sauver sa liberté :

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A de Rivarol (sur la langue française)

Ce qui n’est pas clair n’est pas français. Ce qui distingue notre langue des langues anciennes et modernes, c’est l’ordre et la construction de la phrase. Cet ordre doit toujours être direct et nécessairement clair. Le français nomme d’abord le sujet du discours ensuite le verbe qui est l’action et enfin l’objet de cette action : voilà la logique naturelle à tous les hommes, voilà ce qui constitue le sens commun. Or cet ordre si favorable, si nécessaire au raisonnement est presque toujours contraires aux sensations qui nomme le premier l’objet qui frappe. C’est pourquoi tous les peuples abandonnant l’ordre direct ont eu recours aux tournures plus ou moins hardies, selon que leurs sensations ou l’harmonie des mots l’exigeaient ; et l’inversion a prévalu sur la terre parce que l’homme est plus impérieusement gouverné par ses passions que par la raison.

Discours sur l’universalité de la langue française