Hervé Bazin

« Tous ces fuyards ne reconnaissaient plus aucune légalité, hormis celle de la peur. (…) Le monde a enfin un monde à sa mesure. Un monde de pieds. Ce délire collectif, ce gigantesque délire de conduite sert d’apothéose au sien. Voici les jours prévus par l’Apocalypse, où les fous commanderont aux sages et les courberont sous leur fouet.« 

la tête contre les murs

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