George Bernanos

La grand malheur de ce monde, la grande pitié de ce monde, ce n’est pas qu’il y ait des impies, mais que nous soyons des chrétiens si médiocres, car je crains que ce soit nous qui perdions le monde, que ce soit nous qui attirions sur lui la foudre… vous dites que le monde vous manque ? c’est vous qui manquez au monde !

essais et écrits de combat

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