Dans le nouvel Ordo, cette fête a été renvoyée à la fin de novembre, au dernier dimanche de l’année liturgique, après celui où on lit l’Évangile de la fin du monde. Dans le splendide hymne Te saeculorum des vêpres de la fête deux strophes ont été purement supprimées dans le Liturgia Horarum de 2002.
