Made in Bengladesh (2019)

En même temps que sort sur les écrans français, le film misérabiliste éponyme les Miserables qui veut apitoyer sur les populations majoritairement immigrées des banlieues bénéficiant de plans de financement d’état très généreux, d’un laxisme manifeste contre les nombreux trafics qui s’y déroulent, d’un effondrement total des valeurs, sort aussi un film sur les conditions de travail dans les ateliers de confection bangladais.

Ici, on nage en plein Germinal ! le sort des mineurs de fond de la 3e rep étant en de nombreux points comparables à celui de ces femmes suant pour des salaires de misères et des conditions précaires dans ces ateliers de couture sous traitant pour les plus grands marques de confection ! (paternalisme résiduel en moins)

les nouvelles Etienne Lantier, Maheu…

Le mécanisme globaliste à l’oeuvre depuis plus de 100 ans y est bien décrit : comme en europe,

-les femmes, armée de réserve du capital, ont fait baisser le cout du travail et maintiennent les salaires bas

– les syndicats en cours de formation ont encadré et régulé la contestation sociale

– la collusion entre pouvoir/patron/police est flagrante

– le libre échangisme économique déloyal a fait basculer le développement des pays occidentaux vers le tiers monde ruinant les premiers et exploitants les seconds…

de cette spirale infernale, nous ne sortirons qu’en protégeant nos frontières et nos identités !

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