Depuis 1958, la République a utilisé 86 fois l’article 49-3 de la constitution qui permet d’engager la responsabilité du gouvernement sur le vote d’un projet de loi en débat à l’assembles nationale.

Par ce recours, toute discussion des parlementaires est interrompue (sauf si motion de censure est votée… jusqu’alors toujours rejetée !).

Une nouvelle fois, la cynique, incapable et méprisante république, en pleine crise sanitaire, va dégainer ce subterfuge éminemment anti-démocratique, pour faire passer en force la réforme des retraites alors que son financement n’est pas même assuré !

Rappelons à la république que si elle a des droits, a aussi des devoirs car nul n’est censé ignorer la loi !