Les « Jeunes Turcs », activistes laïcs en lien avec les réseaux de destruction de l’ordre ancien, à l’origine de ces massacres perpétrés en 1915, se sont prévalus de la République Française qui extermina les vendéens catholiques et royalistes, opposés à son idéologie…. l’histoire laisse des traces…

Macron a le chic pour attiser le feu ! Après avoir considéré dans une parole de traitrise nationale inouie, que la France avait commis un crime contre l’humanité en Algérie, il obtempère maintenant à la demande du président algérien lui-même qui exige une mission historique sur la guerre d’Algérie ! il participe ainsi au désarmement moral de notre pays !

C’est à un historien juif d’origine algérienne, jugé très vaniteux par ses confrères, une icône de la repentance, très engagé politiquement et très controversé quand à l’impartialité de sa vision de l’histoire, qu’E Macron a confié une mission sur la mémoire de la colonisation de l’Algérie ! En effet, le pied noir Benjamin Stora a été membre du groupe trotskiste Alliance des jeunes pour le socialisme, l’organisation de jeunesse de l’Organisation communiste internationaliste, dirigée par Pierre Lambert. Benjamin Stora fit partie du comité directeur de l’OCI de 1977 à 1984. Il est permanent de l’OCI de 1976 à 1981. Benjamin Stora est un des principaux fondateurs du syndicat UNEF-ID, lors du congrès de Nanterre en 1980, qui mobilise des éléments de gauche en dehors du PCF (trotskystes lambertistes, courant auquel il appartient et socialistes). Avec l’ensemble du secteur jeunesse de l’OCI, Benjamin Stora rejoint le Parti socialiste en 1985 pour le courant « Convergences socialistes ». Il est également un fervent militant immigrationniste.

Avec lui gageons que l’émergence de la vérité historique ne sera pas une priorité, que la mémoire des français engagés dans ce conflit de décolonisation sera de nouveau salie, et qu’à la conclusion de ses travaux il faudra que de nouveau que la France s’agenouille… et crache au bassinet !