Si la mère s’est fait un devoir d’imprimer profondément sur le front de son enfant le caractère divin, on peut être à peu près sûr que la main du vice ne s’effacera jamais entièrement.
ô mon Dieu, je dois tout à ma mère disait st Augustin
Si la mère s’est fait un devoir d’imprimer profondément sur le front de son enfant le caractère divin, on peut être à peu près sûr que la main du vice ne s’effacera jamais entièrement.
ô mon Dieu, je dois tout à ma mère disait st Augustin