« Non, nous n’avions pas le droit de rompre le pacte conclu avec Dieu ! Les lois et les constitutions promulguées sans Lui depuis la Révolution n’ont aucune valeur contre ce pacte, car les droits du Christ, par bonheur, subsistent toujours. Ce n’est pas ce légalisme païen dont nous périssons, qui peut masquer la criminelle usurpation commise par la Révolution française. »