culottées ces femmes !

Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur.…Ephésiens 5 22

Elles sont 7, 7 adeptes de S De Beauvoir, à postuler pour des fonctions reversées aux hommes au sein de l’Église catholique, candidates à l’archevêché de Lyon ! Elles entendent aller au-delà des interdits posés par l’Église des hommes.

Mais l’Église des hommes et l’Église du Christ ne sont en réalité qu’un seul objet. L’Église et le Christ, c’est tout UN.

Théologiquement, le prêtre est un autre Christ. Le Christ est célibataire. Il est tout donné à Dieu. C’est donc le Christ lui-même qui empêche ces femmes. Quand il a fondé l’Église, il n’a appelé au sacerdoce et à l’épiscopat que des hommes. C’est un fait. L’Église à laquelle nous sommes attachés n’est pas l’Église de Paul, de Pierre, de Pie, François, etc, mais l’Église du Christ.

Nous sommes tous un en Jésus Christ, en fonction de la communion des saints et aussi parce que nous sommes tous sauvés par Jésus Christ. Que nous soyons hommes, femmes, il n’y a plus ni maître ni esclaves, etc. Le Christ transcende ces différences


On ne peut pas opposer l’Église des hommes à l’Église du Christ. Il n’y a qu’une seule Église fondée sur le Christ avec la foi qu’Il nous a transmise et les règles qu’Il nous a données. Ce n’est pas à nous d’en décider.

En réalité, ces femmes comme beaucoup de nos contemporains, ne veulent plus se soumettre à la loi divine, elles entendent adapter le monde à leur propre loi !

Vanité des vanités !

Ignace - Prêtes à être prêtres

testament d’un condamné (R Brasillach)

Condamné à mort par l’Epuration pour avoir été trop à droite, l’écrivain Robert Brasillach (1909-1945) auteur des sept couleurs, témoigne de ses regrets et souvenirs dans ces derniers poèmes. Il sera fusillé le 6 février 1945, âgé de 35 ans, après le refus de la grâce présidentielle. Ce poème, testament, est écrit le 22 janvier.

abus de langage

Pour E Macron, l’assassinat sordide d’Axelle démembrée par une voiture conduite par un dégénéré est qualifié d‘acte d’incivilité. On comprend dès lors pourquoi il a été recalé à Normale sup’ ! à moins que son intention ne soit de banaliser la violence dans laquelle s’enfonce le pays et contre laquelle il n’agit pas !?

Civilité : manière courtoise ou polie de vivre et de converser dans le monde.


On conviendra aisément que battre un homme à mort ou faucher sauvagement les gens en voiture, ce n’est ni courtois ni vraiment poli ! A force de minimiser, voire de banaliser les choses, à force de déni des réalités, on finit pas approuver le pire !

« A force de tout voir on finit par tout supporter… A force de tout supporter on finit par tout tolérer… A force de tout tolérer on finit par tout accepter… A force de tout accepter on finit par tout approuver ! » st Augustin

Il est temps de revenir à la courtoisie inventée par les seigneurs dans les châteaux de la France médiévale où régnait la paix de Dieu !

qu’est-ce-qu’une nation ?

A l’heure où les forces mondialistes s’emploient à la disloquer et où beaucoup ont perdu le sens du devoir, il est bon de rappeler qu’une nation en son sens étymologique est un acte de naissance, une filiation ! Ici E Renan bien que très anti-clérical, en avait parfaitement saisi l’essence. Reste qu’on ne peut réaliser l’unité nationale en dehors d’un ordre naturel fixé par le Très Haut !

« Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui à vrai dire n’en font qu’une, constituent une âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. L’homme ne s’improvise pas. La nation comme l’individu, est aboutissement d’un long passé d’efforts, de sacrifices, et de dévouements. Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime ; les ancêtres nous ont fait ce que nous sommes. Un passé héroïque, des grands hommes, de la gloire, voilà le capital social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir dans le passé des gloires communes ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple ! » (E Renan)