Le chrétien baptisé est un missionnaire, il a un devoir vis- à-vis de son prochain.

Il y a en France, plusieurs millions de musulmans qui pratiquent leur foi de la manière la plus apaisée jusqu’à la plus radicale sans que la République y trouve à redire. Or, pendant longtemps la politique de la France vis à vis des populations étrangères installées sur son sol a été l’assimilation, cela n’est plus le cas puisque de nombreux hommes politiques parlent désormais de face-à-face, de partition ou de séparatisme.…

Devant ces menaces qui pèsent sur « le vivre-ensemble » et par charité envers son prochain, le chrétien doit remplir sa mission qui est d’annoncer le Christ à ces gens qui ont une foi ardente mais ne sont pas sur le chemin de la vérité et donc celui du Salut :

Attention, le Carême chrétien n’est pas le Ramadan !
Bien moins médiatisé (!?), plus discret, plus pudique, joyeux même puisqu’il s’agit avant tout, par quelques privations corporelles à la mesure de chacun, d’expérimenter le manque et d’ouvrir son âme à Dieu, d’être capable de renoncer aux péchés, de faire preuve de modération et d’éduquer son désir. En somme de retrouver la liberté intérieure qui ne peut exister qu’en se pliant à Dieu…

retrouver ici les video quotidiennes et les thèmes développés : https://misericordedivine.fr/vivez-un-careme-avec-les-missionnaires-grace-a-une-video-quotidienne/

« A toute chose malheur est bon » dit le proverbe.

Ce mercredi des cendres marque pour les catholiques, le début du Carême. 40 jours de pénitence, de privations, de prières, d’expiations, de recueillement pour se rapprocher de Dieu, et comme le Christ retiré dans le désert, résister à la Tentation grâce à la force de l’esprit du Père, lutter contre la chair, l’orgueil et les passions du coeur.

Au même moment, sévit le coronavirus ! Le monde entre en quarantaine ! Mesures de confinement, contraction du commerce international, contrôle ou fermetures des frontières, risque de pandémie !

Nul ne peut prédire l’évolution de cette nouvelle maladie mais cette quarantaine forcée sera peut-être l’occasion inespérée de nous détacher de la folie de ce monde, de réfléchir à ce qui nous est essentiel, au sens de notre vie, à l’orientation que nous lui avons donné, de retrouver nos repères, de nous relocaliser dans notre environnement proche, de revenir au réel !

Acceptons la sentence, retournons à la poussière et combattons :

« Que la vérité, soit votre ceinture, la justice votre cuirasse, la docilité à l’Évangile votre chaussure, la foi votre bouclier, l’espérance du salut le casque qui protégera votre tête ».